Sur cette page, vous trouverez les informations indispensables de ce qu'il vous faut connaitre avant d'entreprendre d'aller à la pêche aux coques en baie de La Baule.
Ne confiez pas votre santé, ni votre ambition à partir sur l'estran à la pêche aux coques autrement qu'à des sites Web authentiques, autorisés et officiels.
En Loire-Atlantique (dpt 44), la richesse reconnue des gisements de coquillages (coques, huîtres, moules…) a toujours attiré de nombreux pêcheurs à pied. Les récoltes pratiquées trop souvent par excès imposent aux pouvoirs publiques et aux organismes locaux la mise en place d’une politique de gestion des gisements afin de les préserver durablement.
Ainsi une bonne partie de l'année, il est interdit de ramasser des coques à La Baule. Il y a juste droit aux palourdes et aux moules. Depuis plus d'une dizaine d'années, des mesures sont prises pour préserver la ressource et permettre son renouvellement. L'observation de ces règles civiques et de bon sens permet de revenir sur le site de temps à autres et pouvoir ainsi profiter de ce que produit la nature.
Si vous pensez que la seule consultation sur Internet suffit, en tapant quelques mots-clés, avant de vous lancer à la pêche aux coques, vous vous trompez. En effet, rien ni personne ne peut garantir qu'au moment de votre requête les pages Web et autres vidéos qui s'affichent sitôt tout en haut de votre écran, en 1ère ligne ou en 1ère page, sont d'authentiques garanties sur la probité des informations au moment où vous effectuez cette recherche.
En effet, il faut savoir que l'ordre d'affichage des pages Web depuis le haut de la première page (pôle position) jusqu'à la Nième page, est le fruit de réajustements permanents fonction du temps passé et de calculs d'algorithmes 100% gérés par les éditeurs de moteurs de recherche.
Parce que rien ne vaut l'entraide communautaire, et les réseaux sociaux, La-Baule-360 vous informe de l'existence d'un Forum dédié exclusivement à la Pêche aux Coques sur le gisement de La Baule.
Il se trouve ICI en bas de cette page. Vous êtes invité à venir y déposer et y consulter toutes les informations utiles qu'il vous importe de vouloir remonter en cet endroit centralisé dans l'intention d'une bonne pratique de la pêche aux coques à la Baule.
Merci de votre contribution.
Ce Forum de La-baule-360 est dédié exclusivement à la Pêche aux Coques sur le gisement de La Baule.
Nous sommes sur le gisement naturel de coques de la plage Benoît qui s'étend essentiellement sur la commune de La Baule, puis dans l'étier du Pouliguen et sur une petite partie de sa rive droite.
A savoir : La baie du Pouliguen comporte le gisement naturel de coques de la plage Benoît, les gisements de moules des Impairs et sur les îlots des Evens, Baguenaud, Pierre Percée, principalement, ainsi qu'un petit gisement de palourdes à la pointe de Penchâteau,
Peu à peu la mer se retire. Doucement pour commencer, puis plus rapidement, et très vite. Aujourd'hui, c'est coefficient 109. Fait rarissime dans l'année. A cette heure-là de la marée descendante, d'ordinaire l'eau n'est pas aussi basse, et on sent bien qu'aujourd'hui ce sera différent des autres jours. L'estran se dégage à une vitesse impressionnante. Seulement trois heures que la mer se retire et elle est déjà aussi loin, voire plus, que par coefficient de 70.
Il est grand temps de prendre ses affaires et de suivre les flots qui en se retirant donnent l'impression de presque nous fuir. Mais attention ! Au retour, il nous faudra peut-être courir pour échapper à une baignade forcée - surtout si les conditions météo venaient à changer rapidement et que le vent on-shore se lève- .
Consultez la météo et son évolution heure par heure en haut de page.
Nous n'aurons donc qu'un maître mot : vigilance. Certes ici nous ne sommes pas au mont Saint-Michel, où les vaguelettes reviennent vers le trait de mer de marée haute à la vitesse d'un cheval au galop. Ici nous ne sommes qu'à La Baule en Sud Bretagne, également l'une des plus belles baies du monde. Mais cette baie est bien moins risquée que plus au Nord là-haut, en Normandie sur les côtes de la Manche.
Alors que nous poursuivons la mer qui se retire et dévoile progressivement des immensités de sable et de rochers inconnus d'ordinaire, donnant à nos yeux un spectacle hallucinant, on sent qu'ici la vie frétille.
D'abord, le bruit des bulles d'air qui remontent à la surface. Le bruit que font les pas sur ce sable si différent de celui de la berge. Nettement moins de silice, et plein de flaques d'eau. Normal après tout, ici nous sommes sur le territoire de l'eau. Des crabes. Des vers. Des traces de mollusques et ... plus on s'approche de la frontière précaire mer - estran, une densité sans cesse croissante d'oiseaux marins en recherche de nourriture.
Et ... tout là-bas, au loin en bordure des flots, il se peut qu'on n'entende pas l'eau s'infiltrer entre nos jambes et entre les rides de sable sitôt que la mer remonte. On peut vite alors en quelques secondes se retrouver cerné par les flots.
Ainsi, lorsque la marée s'inverse, si on ne connait pas l'heure de l'inversion et qu'on ne consulte pas sa montre régulièrement, il y a danger. Nous ne le rappellerons jamais assez : à chaque minute écoulée, lorsqu'on est 'en mer' mais paradoxalement au sec, on se doit de garder à l'esprit que, l'instant aussi fantastique qu'il soit, est éphémère. Chaque moment a son importance. En effet, sous très peu de temps, il y aura un, deux, trois, quatre mètres d'eau à l'emplacement exact où nous sommes.
Cela arrivera d'autant plus vite qu'on n'aura pas suivi la mer au fur et à mesure qu'elle se retirait et qu'on sera arrivé au petit bonheur la chance sans précaution. Alors, lorsqu'on ne sait pas, on ne s'aventure pas. Emportez votre téléphone mobile avec vous.
Quelque part, c'est comme à la montagne lorsqu'on arrive sur une étendue de neige vierge.
Le décors devient d'autant plus surprenant qu'en poursuivant la mer au fur et à mesure qu'elle se retire, on pénètre dans un nouvel espace où les repères sont absents et les amers difficiles à distinguer tant la localisation de là où on se trouve est difficilement perceptible et la lecture au loin du trait du littoral, bien différente de celle observable depuis la plage. Toutefois, heureusement ici en baie du Pouliguen, lorsqu'on veut rentrer au plus vite au sec, on peut tracer sa route presque tout droit sans détour imposé. Se mouiller ne sera par contre, pas impossible.
Ici, rapidement les sons changent. Sitôt les 500 premiers mètres franchis en direction du fond de la baie, les bruits de la civilisation, qu'on entend sur le front de mer, s'atténuent pour disparaitre jusqu'à complètement au fil de notre progression vers le large.
La vie dans le sous-sol marin, découvert par périodes régulières (consultez l'horaire des marées), est riche. Faune et flore s'y entremêlent. Différente de celle de là où il y a des rochers, la vie tantôt à l'air libre, tantôt sous-marine ici est propice au développement de mollusques spécifiques. Enfouis à marée basse, ils remontent vers la surface au sentir de la remontée des eaux.
Facile à reconnaitre, la coque est un grand classique parmi les prises du pêcheur à pied. La Coque commune ou Coque blanche est une espèce de mollusques bivalves de la famille des Cardiidae. Elle mesure entre 2 et 6 cm (taille de prise réglementaire 3cm), sa couleur varie du blanc au brun en passant par le beige. Sa coquille bombée et cannelée est facilement reconnaissable. La coque est un coquillage fouisseur qu'on trouve dans le sable à faible profondeur, mais toujours sous le niveau de la mer !
La coque vit en colonie, parfois de plusieurs dizaines de coquillages par mètres carrés. Les baies et les estuaires sont de bonnes zones de pêche.
La présence d'oiseaux non loin atteste de la présence des coques.
D'abord il fait se débarrasser du sable. Les coques se nourrissent en filtrant l'eau de mer. En ce sens elles ingurgitent du sable dont il va falloir se débarrasser préalablement à la cuisson.
En général pour faire dégorger des coquillages marins, il faut les laisser tremper 4 à 6 heures dans de l'eau de mer (ou de l'eau douce avec du gros sel : compter 35 g de sel par litres d'eau). Remuer de temps à autre. Le sable se déposera au fond.
Recommencer si nécessaire ou bien, pour être certain qu'il n'y a plus de grain de sable, répéter l'opération 2 fois, 2 à 3 heures.
Vous pouvez cuisiner les coques de différentes façons : au four, au barbecue, à l'étouffer ... Une des meilleures façons de les déguster est de les préparer comme les moules (marinière, vin blanc, crème fraiche, safran, ...). Les coques se consomment aussi crues comme les huitres.
Pour peu que toutes les conditions soient réunies, ce qui est le cas aujourd'hui (un week-end, une journée baignée de soleil, des températures clémentes, pas ou très peu de vent, une basse mer sur les coups de midi, une mer assez calme), c'est jour de pêche à pied à la Baule. Plus précisément jour de ramassage des coques en baie du Pouliguen. Le moment est d'autant plus attendu que ce jour là, la pêche à pied à la coque était autorisée : pas d'interdiction préfectorale, pas de problème sanitaire.
Si l'arrêté préfectoral est en principe destiné à la protection des espèces par la prise de mesures destinées à préserver la ressource et permettre son renouvellement, malheureusement et trop souvent l'arrêté préfectoral est également prononçable et prononcé pour des cas de risque sanitaire. Il y a ainsi des périodes dans l'année où d'une année sur l'autre les risques sanitaires sont - semble-t-il répétitifs (1 - 2). Malheureusement, même si en été les trois communes (Le Pouliguen, La Baule, Pornichet) qui encerclent la baie du Pouliguen sont validées toutes labellisées Pavillon Bleu, des cas fort graves de pollution de la chaine alimentaire sont toujours possible.
Alors, avant de se déplacer, mieux vaut prendre tous les renseignements requis.
Arrêté préfectoral, arrêté municipal, météo, horaire des marées, qualité de l'eau de baignade, avis et informations de tout venant laissés sur le Forum de la page ... sont autant de facteurs que le site Web www.pecheauxcoqueslabaule.com fédère
Il est vrai que les gens peuvent venir de loin sur le gisement de coques de La Baule. Parfois on vient de Normandie tant ici la coque est réputée. Professionnels et particuliers se retrouvent ainsi à proximité les uns des autres à creuser et farfouiller dans le sable et cette sorte de vase dans laquelle vit la coque. Les moyens sont visiblement différents. Les techniques aussi. Clairement on distingue sans ambiguïté le professionnel de la pêche à pied à la coque de l'amateur.
Si les places sont presque chères sur l'estran à marée basse, elles sont assurément bien plus difficiles à trouver en bordure du gisement de coques de La Baule. Trafic automobile et pénurie de places de parking rendent ce jour si singulier dans le calendrier qu'il vaut mieux s'être organisé avant de venir.
S'il y a bien un phénomène que l'on peut prévoir, dès lors qu'on a consulté la météo, les horaires de marée et le fameux coefficient de marée, sans oublier les possible arrêtés préfectoraux ou/et municipaux, et les informations sur la qualité des eaux de baignade (lorsque la période si prête), c'est l'heure à laquelle la mer se sera retirée, quand le gisement de coques sera accessible et quand il faudra rebrousser chemin avec musette pleine ou pas.
Car lorsque la mer remonte et qu'en plus le vent se sera levé, c'est comme si les chevaux étaient lâchés. Il vaut alors mieux presser le pas pour regagner la berge, là où la déclivité de la plage nous placera non plus sous le niveau de la mer, mais au-dessus, en totale sécurité.
Pour se faire il y a une règle d'or à respecter : outre de garder un oeil sur ce qu'il se passe autour de soi et faire attention à ses propres cheminements sous le niveau de la mer, il faut également interpréter la hauteur des bancs de sable et observer par où la mer revient vers la berge.
L'objectif étant de ne surtout pas se retrouver cerné par les flots. C'est précisément là qu'il y a danger, et baignade assurément forcée.
La-Baule-360 vous invite à venir par le virtuel grâce à cette visite virtuelle enrichie en mode 3V 360, à venir découvrir cette surprenante et merveilleuse zone du littoral émergée un si bref instant qu'est, celui rarissime dans une année des grandes marées, le grand jour des marées de syzygie et d'équinoxe.
En cliquant sur chacun des liens (de 1 à 28), visitez comme si vous y étiez par pas d'environ de 100 mètres, une partie du gisement de coques de la Baule et les flancs du plus grand banc de sable de la baie du Pouliguen.
dépaysement assuré au fur et à mesure de la progression dans l'élément marin d'ordinaire caché puisque recouvert d'eau de mer.
PDF, vidéos, podcast, liens externes ... vous y attendent.
Etape 1 : En cliquant sur les Hotpoint façon celui-ci ou celui-là. Faites fonctionner vos sens et laissez votre curiosité vous envahir. Bienvenue sur le gisement de coques de la Baule sous le niveau de la mer.
Etape 2 : En marche vers le centre de la baie de la Baule le long du banc des Chiens, aux abords immédiats du gisement de coques. Consultez la fiche pratique des "bons réflexes pour la pêche à pied" !
Etape 3 : Pour rejoindre la berge au sec depuis là où nous sommes, il faudrait marcher 5 minutes à vive allure. En cliquant sur les Hotpoint (drapeaux, icones, PDF, ...), découvrez les richesses du gisement de coques de La Baule et assistez comme si vous y étiez au grattage et rituels de la pêche à pied.
Etape 4 : Toujours plus loin. C'est par ici que se trouve l'une des plus grosses densités de coques du gisement de La Baule. En cliquant sur les Hotpoint, découvrez comment les professionnels extraient la coque de son élément naturel.
Etape 5 : D'ici le croissant de baie de La Baule se fait plus perceptible. La densité des pêcheurs à pied est à son apogée. En cliquant sur les Hotpoint, découvrez ce moment empli de sons étouffés. Nous sommes sous le niveau de la mer.
Etape 6 : Depuis la crête du banc des Chiens, on surplombe l'étendue du gisement des coques où la majorité des pêcheurs se concentre : entre le casino de La Baule et l'hôtel L'Hermitage
Etape 7 : Par très grand coefficient, la mer se retire encore plus. Certains pêcheurs tentent d'aller le plus loin possible, là où le sable n'a pas déjà été retourné. Mais est-ce le bon choix ?
Etape 8 : Des îlots de sable se sont formés. Structures éphémères. Penser à regarder en continu autour de soi afin de ne pas se faire cerner par la mer.
Etape 9 : Phénomène exceptionnel que l'apparition de cette île au centre. On voit au loin le dessin en forme de langue du Banc des Chiens. Là-bas, le sable y est différent.
Etape 10 : Par ici, c'est la fin du gisement de coques de La Baule. Ici, en bordure de la crête du Banc des Chiens le paysage change soudainement. Plus aucun bruit de la civilisation. On entame une autre découverte ...
Etape 11 : La masse des pêcheurs affairés au sol parait désormais bien loin. Ici, c'est un autre milieu : déjà sauvage, vierge et éphémère.
Etape 12 : La sensation d'être de l'autre côté là où on ne va jamais car ... il est impossible d'y venir. Le point de vue s'annonce étonnant.
Etape 13 : Découvrez toute l'étendue du Banc des Chiens par survol interactif de la zone de sable. Nous voici à l'autre bout, vers le centre de la baie.
Etape 14 : La Menace : le film
Etape 15 : Vivez comme si vous y étiez le moment final de l'enfouissement du Banc des Chiens - Vue aérienne. Pour retrouver les vidéos sur cet enfouissement, cliquez sur la carte en haut de page, sur les points concernés.
Etape 16 : Moment rare qui ne peut être observé au maximum que 4 fois par an si les conditions météo sont favorables : la subduction par les flots du banc des Chiens - Vue aérienne
Etape 17 : Contournement du point culminant du Banc des Chiens. Nous voici face au large. A l'endroit où la faune peut le mieux s'exprimer sans trop de présence d'humains.
Etape 18 : La présence toute proche des rochers nous invite à consulter la fiche PDF sur les espèces d'algues.
Etape 19 : Observez en vidéo le balai des oiseaux qui suivent pas à pas la remontée rapide de l'eau de mer. Moment propice à la remontée en surface de leurs proies.
Etape 20 : En cet endroit, plus sauvage encore, nombreuses et variées sont les espèces d'oiseaux. La remontée de la mer est le moment propice pour se nourrir. En cliquant sur le Hotpoint, consultez la vidéo.
Etape 21 : Ici grands et petits oiseaux partagent la même scène de vie. En cliquant sur le Hotpoint, consultez la vidéo. Utilisez le radar pour vous repérer et tourner sur vous-même.
Etape 22 : De retour vers le centre du gisement de coques de la Baule. Le sable est légèrement vaseux. Apprenez comment on pêche le vers et l'arénicole. Pour cela, poursuivez la ballade virtuelle en 3V 360.
Etape 23 : Entre la berge et le bord de l'eau dont la frontière ne cesse de bouger, il existe une zone plus ou moins étendue qu'il faut absolument franchir pour passer d'un côté à l'autre. En cliquant sur le Hotpoint, consultez la vidéo.
Etape 24 : En cliquant sur les Hotpoint retrouvez les fiches pédagogiques pour la pêche à pied à la coque en baie de La Baule.
Etape 25 : L'air de rien le niveau de l'eau remonte. Les vers aussi remontent. C'est peut-être d'ailleurs que les oiseaux suivent les flots montant. Observez les flaques d'eau de mer omniprésentes. Ici dans quelques instants, tout sera rapidement recouvert pour venir cerner à côté la crête du Banc des Chiens.
Etape 26 : La lisière mer - terre parait désormais lointaine. L'atmosphère observée là-bas n'est plus. Ici on se consacre à la pêche au vers et aux arénicoles.
Etape 27 : En remontant vers le sec, la mer nous poursuit. Il faut marcher d'un bon pas. A moins que la pêche au vers ne soit votre ambition !?
Etape 28 : Dernier crochet de contournement de la crête du Banc des Chiens. C'est par ici que se concentrent les pêcheurs à pied. Là où se mélangent 3 types de sable.
Tantôt très fin et blanc, tantôt plutôt jaune et de granulométrie plus grossière, ... le sable diffère selon l'endroit où on se trouve en baie du Pouliguen. Au sec, sur la partie submersible, et plus loin encore à marée très basse.
C'est aussi à la nature du sable et son apparence qu'on repère la présence possible de coques.
La planche photo ici à gauche a été composée par La-Baule-360. Elle restitue les divers sables (de 1 à 10) qu'on peut observer en baie du Pouliguen. Certains préféreront le sable ainsi, d'autre comme cela. Un débat sur vos observations et vos préférences est ouvert dans le Forum La-Baule-360 de cette page. Cliquez Ici pour participer, confronter vos avis et échanger.
Le sable est une matière solide granulaire constituée de petites particules provenant de la désagrégation de matériaux d'origine minérale (essentiellement des roches) ou organique (coquilles, squelettes de coraux, etc. ).
En cliquant ici, devenez spectateur de la submersion du banc de sable des Chiens, qui jouxte le gisement de coques de la Baule - Le Pouliguen.
Contrairement aux idées préconçues, on ne trouve pas des coques partout dans le sable. Disons plutôt même qu'on ne trouve des coques qu'en certains endroits précis.
Dans la question "Où trouver des coques ?" se cache aussi l'affirmation "Où assurément ne pas trouver ce mollusque bivalve qu'est la coque !".
On ne trouve assurément pas de coques lorsque le sable est à moyenne et forte granulométrie (Etape 6 de la visite virtuelle 3V 360deg), tel celui constitutif du banc de sable dit "banc des Chiens", juste à proximité, voire même en ceinture du gisement de coques de la Baule (Etape 25 de la visite virtuelle 3V 360deg).
Lorsqu'on est sur le gisement et qu'il n'y a personne à plus de 100m de vous, que le sol a déjà été fortement retourné, cela ne veut pas dire pour autant qu'il n'y a pas ou plus de coques. Observez si la marée descend encore ou remonte. Si elle remonte déjà c'est trop tard. Si elle descend ou est étale et donc qu'elle va bientôt remonter, alors essayez ! Vous verrez ou bien. Les coques font leur retour dans les premiers centimètres de la surface qui les séparent de l'eau vive dès lors qu'elles sentent que l'eau de mer revient. Par contre, si vous arrivez le dernier à marée complètement basse et que le sol a été sérieusement retourné, il y a de fortes chances que pour cette fois, en cet endroit, il n'y en ait plus beaucoup à attraper.
On trouve des coques avec l'assurance modéré à forte d'en trouver si le terrain est un peu vaseux (consultez l'Etape 4 de la visite virtuelle 3V 360deg), le sable très fin, qu'il y a quelques algues qui témoignent de l'absence de courants forts, qu'il y a quelques étendues d'eau de mer résiduelle, et ... qu'il y a du monde pas loin. Plus la mer sera proche de remonter, plus il sera facile de trouver des coques. Mais en ces conditions les lieux peuvent vite changer d'aspect. Et ce n'est pas en restant la tête penchée sur le sol que vous pourrez surveiller l'état de la remontée des eaux. Soyez prudent ! Surveillez l'état de la mer et la remontée des flots.
❒ CONSULTEZ les Interdictions en vigueur ou pas de pêche des coquillages en Loire-Atlantique : Préfecture de Loire-Atlantique
❒ Après le législatif, procédé à une vérifcation sanitaire : Santé - Où pêcher (pêche à pied) en Pays de la Loire ? ARS Pays de la Loire - Les interdictions pour des motifs sanitaires peuvent être durables ou temporaires et être dues notamment à des contaminations d'origine bactériologique ou à la présence de phytoplancton toxique.
❒ OFB : Office Français de la Biodiversité : Connaissance et Expertise
❒ Les Grandes Marées : comment se préparer ? Secrétariat d'Etat chargé de la mer
❒ Santé - Qualité des eaux de baignade : FACE AV. DU GAL DE GAULLE / Département : LOIRE-ATLANTIQUE / Commune : BAULE-ESCOUBLAC (LA)
❒ Lexique des Eaux de Baignade : Le Ministère de la Santé rappelle par un lexique quelques termes à connaitre
❒ Préfecture des pays de Loire : Consultation publique du 04 au 24 novembre 2022 inclus relative à un projet d'arrêté du préfet de la région Pays de la Loire, en vue de protéger la ressource des coques (Cerastoderma edule) sur le gisement naturel de la baie de La Baule et d’en assurer la gestion rationnelle.
❒ Où et comment pêcher les coquillages ? Cap Atlantique - La façade littorale de la Presqu'île de Guérande offre de nombreux sites de pêche à pied professionnelle et de loisirs. Ils permettent de pêcher moules, huîtres, palourdes, coques, bigorneaux, patelles ...
❒ FranceAgriMer - Etablissement national des produits de l'agriculture de la mer (Le prix des produits alimentaires frais) : prix du Kilo de coques / Le Réseau des Nouvelles des Marchés est piloté au niveau national par l'établissement public FranceAgriMer. La collecte d'informations est réalisée en région par des équipes d'enquêteurs conjoncturistes du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation en DRAAF.
❒ IFREMER - Rapport interne de la Direction de l'Environnement et de l'Aménagement Littoral - Etude de salubrité du gisement naturel de coques de la plage Benoît en baie du Pouliguen - Loire-Atlantique (1989-1990)
Un balai impressionnant qui commence tôt le matin à la pointe du Hourdel.
En tracteur, à pied ou à vélo, c'est une étrange procession qui commence au large de la pointe du Hourdel. Il faut faire vite. À près de deux kilomètres des côtes, c'est une course contre la marée montante. Comme des chercheurs d'or, les pêcheurs à pied grattent le sable à la recherche de coques, la pépite de la baie. C'est un travail harassant.
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